• Accueillir une œuvre d’art c’est tout un art

    Accueillir une œuvre d’art chez soi ou dans son entreprise est un geste fort qui mérite une attention toute particulière. La question de l’emplacement est cruciale, aussi bien que celle de la mise en valeur ou en lumière, sans oublier sa conservation et bien d’autres paramètres.

    We Art Partners, spécialiste en investissement dans l’art, a la réponse à chacune de ces interrogations, mais également, sur toutes celles concernant la gestion de patrimoine artistique.

     
    Une œuvre n’est pas une simple décoration… C’est un aussi investissement dans l’art.
     

    Le bon conseil se distingue par le sens du détail. Et ce sont tous les détails techniques qui font la différence. Nous assurons tout : l’emballage, le transport et enfin l’accrochage de l’œuvre en mettant en place une scénographie optimale.

     
    Commencer par le choix de l’œuvre ou le choix du lieu ?
     

    Cette scénographie ne constitue pas la fin du processus. Elle en est même le commencement car l’accueil d’une œuvre ouvre un dialogue entre le lieu et l’œuvre, vecteur d’harmonie pour ses occupants. L’œuvre devient alors l’invitée privilégiée de votre espace, et We Art Partners, expert dans l’investissement dans l’art, se positionne soit dans un premier cas en tant que conseiller en gestion de patrimoine artistique afin de vous aider à investir dans l’art, tout en vous permettant d’acquérir l’oeuvre de vos rêves, ou soit, dans un second cas, à se mettre en quête de l’œuvre qui vous correspond le mieux.

     
    Qu’avez-vous donc à faire ? Seulement à avoir envie d’une œuvre d’art, nous nous chargeons du reste pour faire aboutir la plus belle des rencontres.

     

  • Le StreetArt vu par We Art Partners, spécialiste de l’investissement dans l’art

    Le StreetArt est un terme qui résonne dans les salles de vente, dans les plus grandes foires et lors d’ évènements du monde de l’art. 

    Aujourd’hui le street art s’oppose, en partie, à son étymologie première qui est la rue en se définissant aussi par des œuvres sur toile, carton, panneau de bois et autres supports… Cette transposition du mur à la toile est assez récente, une dizaine d’années.

    Impulsés par des artistes tels que Basquiat ou Keith Haring, les street artistes ont commencé à intéresser le réseau de collectionneurs en parallèle du phénomène d’internet et de la réappropriation de l’espace public. La visibilité grandissante des œuvres de rue a interpellé les marchés.

    Nous pouvons aussi parler d’art urbain dans le sens où l’origine de ce mouvement, la rue était à la fois l’inspiration et le support de création. Le StreetArt comprend à la fois les œuvres légales qui sont cautionnées voire même financées par les institutions publiques. Mais on parle également de StreetArt pour désigner des œuvres plus spontanées, voire vandales.

    Le monde de l’art tourné vers le StreetArt

    L’institutionnalisation du StreetArt est assez récente. Nous entendons par institutionnalisation le fait que certaines oeuvres rentrent dans des collections institutionnelles ou lorsque des musées consacrent une ou des exposition(s) au StreetArt. La Tate et le Moma ont déjà consacré des grandes expositions à ce mouvement. En France, l’institutionnalisation se fait davantage dans un souci de démocratisation, dans le sens où la visibilité de l’art urbain est omniprésente en France avec des politiques publiques qui encouragent cette pratique. (Financement urbain de projets artistiques).

    Le devenir du StreetArt  : une histoire qui se conjugue 

    Le monde de l’art s’est adapté à ces artistes pluridisciplinaires et transversaux qui produisaient à la fois dans la rue par pur plaisir et sur des toiles afin d’intégrer les plus grandes collections. À Paris actuellement le marché du StreetArt est en croissance avec de nombreuses galeries, marchands qui émergent de plus en plus dans la capitale. Nous pouvons alors nous demander quel est le devenir du StreetArt et de ses acteurs ? Pouvons-nous dissocier au sein même de ce mouvement différents courants. Comme nous commençons à appeler un courant d’art urbain contemporain, il est possible qu’on puisse bientôt citer un StreetArt « moderne » ou « classique », qui concernerait les pionniers de l’art urbain.

    Comme le pop-art a été l’art populaire des années 60-80, le StreetArt est l’art “populaire” d’aujourd’hui par son accessibilité à un plus grand nombre. Néanmoins, il faut savoir différencier les valeurs sûres et pérennes du street-art, celles qui s’inscrivent dans un courant de ce mouvement et les artistes « passagers ». Pour cela, le marché décrypte ces informations mais il est préférable d’être accompagné dans l’objectif de constituer une collection de street-art.

    We Art Partners, conseil en gestion de patrimoine artistique et expert de l’art urbain décrypte pour vous le marché et sera vous orienter vers des œuvres historiques ou en devenir de l’art urbain.

  • Les regards sont tournés vers la scène artistique africaine

    Le marché de l’art a ses tendances et ses évolutions.  Depuis environ 5 ans, c’est la scène contemporaine africaine qui captive les réseaux de collectionneurs, de galeristes et de foires européennes.

    Pour Claire Nini, journaliste spécialiste des artistes contemporains africains, « On ne peut pas parler d’un art émergent, c’est le regard français sur l’art africain contemporain qui est émergent. »

    Pour ne pas se méprendre, il faut bien noter que c’est bien le marché qui s’est tourné vers l’art africain et non l’inverse. La scène artistique africaine a de tout temps compté de nombreux artistes dont les œuvres ont été plus ou moins présentés en Europe.

    La question est de savoir comment expliquer cette tendance actuelle. Auparavant, il y a eu l’art contemporain asiatique, avec notamment la Chine et la Corée du Sud dans les années 2000. En parallèle de cette période, l’Afrique du Sud avec Johannesburg et l’Afrique du Nord avec Marrakech ont vu de nombreux festivals d’art se développer et se regrouper.

    L’Afrique du Sud est depuis assez longtemps, un pôle attractif et productif pour les galeries d’art grâce à une économie propice à un développement international. La participation en hausse des  galeries d’art installées en Afrique lors de manifestations internationales, témoigne de l’intérêt porté par l’Occident vers le continent africain et le dynamisme de son tissu d’acteurs.

    L’Afrique du Nord a eu une visibilité publique plus tardive, mais qui, encore aujourd’hui ne cesse d’accroître, notamment avec la Biennale de Marrakech.

    Voyant le potentiel du marché de l’art africain en matière de développement économique, les états africains encouragent de plus en plus ces manifestations culturelles avec des aides budgétaires parfois indispensables pour exister, notamment pour la Biennale de Marrakech qui a une subvention assez conséquente pour garantir sa pérennité.

    Parmi les manifestations culturelles les plus connues, nous pouvons aussi compter Dak’Art qui  a été créée à Dakar en 1989. Celle-ci rassemble des centaines d’artistes, représentés par des galeries présentes sur le territoire et des milliers de visiteurs, acheteurs, curieux et collectionneurs.

     

    La production d’envergure de l’art africain sur le marché français

    Il existe une présence certaine d’une communauté d’acheteurs grandissante d’œuvres d’artistes africains. L’un des collectionneurs pionniers est Jean Paul Blachère, qui, au-delà de collectionner de nombreuses œuvres, a entrepris de soutenir la jeune création africaine avec notamment la fondation Blachère, qui permet à des artistes africains d’effectuer des résidences et d’organiser des expositions.

    Et c’est bien cela l’enjeu d’une tendance, d’éviter les effets de spéculations en soutenant à long terme, la scène contemporaine africaine. Aussi, de nombreuses institutions françaises légitimes cette tendance en permettant à certains artistes d’intégrer de grandes collections muséales. En ce sens, a été présenté Beauté Congo à la Fondation Cartier en 2015, ou Seydou Keita l’année suivante au Grand Palais. En France, cette effervescence se poursuit en 2017 avec de nouveaux événements parisiens relayés par Art Paris Art Fair, la Fondation Louis Vuitton, le groupe Galerie Lafayette pour la Galerie des Galeries ou encore le festival pluridisciplinaire 100% Afrique à la Villette.

    Pour le Marché de l’Art, la vitalité d’une scène artistique est corrélée à sa production, tant du point de vue de sa qualité que de sa visibilité.

     

    Les évènements/ institutions à suivre:

    L’Akaa – Also Known as Africa au Carreau du Temple, Paris.

    Dak’art – La Biennale de Dakar, Sénégal.

    Art X Lagos

    Zeitz Mocaa (Zeitz Museum of Contemporary Art Africa)

    La fondation Sindika Dokolo

    La fondation Blachère

    Le Musée d’art contemporain africain Al Maaden (MACAAL)

  • L’investissement plaisir dans l’art vu par We Art Partners

    Qu’appelle-t-on « investissement plaisir » ?

    Aujourd’hui grâce à une législation propice aux actions « philanthropes », pour la préservation du patrimoine artistique, l’investissement dit de « plaisir » est de plus en plus présent sur le marché. Cette catégorie d’investissement concerne tant les particuliers que les professionnels et comprend tous les domaines d’achats qui relèvent davantage de la délectation, de la contemplation, voire de l’émotion tels que l’art (comprenant les arts plastiques et décoratifs), le vin, l’or, les forêts etc.

     

    L’art un plaisir d’investissement  ?

    L’art est un placement concret, de plaisir qui offre une plus-value conséquente sur un court, moyen ou long terme selon les acquisitions et la prise de risque engagée. Dans tous les cas, l’art fait l’objet d’intérêt en tant qu’avantage loa pour particulier. En effet, ces « placements de plaisir » permettent à des particuliers et des professionnels de bénéficier d’avantage fiscaux très avantageux. « Il est donc à ce jour, fortement recommandé de posséder au moins 5% à 10% de son patrimoine en œuvres d’art ». Cependant, il faut faire attention car le marché de l’art est un marché vaste et il est préférable d’être accompagné par des conseillers en gestion du patrimoine artistique et en investissement artistique, pour décrypter les rouages de ce marché et en faciliter les informations.

     

    Faire de ses investissements un plaisir en continu 

    We Art Partners, l’expert en investissement dans l’art contemporain intervient comme conseiller en gestion de patrimoine artistique. Il garantira à tout collectionneur, un plaisir d’acquisition sur une longue durée. Il ne s’agit pas seulement de faire des plus-values,  mais de prendre goût à faire évoluer son patrimoine artistique. L’enjeu est donc de rendre pérenne le plaisir des premières acquisitions d’œuvres d’art.

     

    En plus d’être un moyen d’optimisation fiscale pour une LOA sans apport par exemple, l’art représente, pour les entreprises, un outil stratégique pour fédérer les équipes et les partenaires autour d’œuvres d’art permettant de galvaniser l’esprit « corporate ».

  • Impôts, image et patrimoine : Ne refaites pas les erreurs de 2017 !

    Ça y est, 2017 était une belle année et 2018 s’annonce encore mieux !

    Votre expert comptable sort votre bilan et prononcera deux lettres : « IS » (Impôt sur les Sociétés).

    Sans remettre pour autant en cause son intérêt, le montant associé à ces deux lettres vous titille.

    REAGISSEZ POUR 2018 et diminuez vos impôts tout en développant votre patrimoine artistique.

    La solution : développer une collection à l’aide de conseils en gestion de patrimoine.

    We Art Partners vous accompagne dans le choix des oeuvres d’art, en vous proposant sa solution de location avec option d’achat, pour vous orienter dans l’investissement.

    La LOA sur oeuvre d’art, ou communément appelée leasing d’oeuvre d’art, vous permet, sans apport personnel :

    • de lisser l’investissement dans l’art sur plusieurs mois – Loyers de 13 à 60 mois
    • de bénéficier à 100% d’une déduction fiscale loa des loyers de votre résultat imposable (Charges locative d’exploitation), et de ce fait, de faire une économie d’impôt considérable.
    • de devenir propriétaire des oeuvres à la fin de la période de location pour 5% du montant à financer.

    De plus, We Art Partners, le spécialiste en investissement dans l’art, vous accompagnera et vous conseillera sur le choix des oeuvres afin de vous constituer un patrimoine artistique intéressant selon vos goûts et vos objectifs.

    Vous sublimerez ainsi vos locaux grâce aux oeuvres d’art, vous valoriserez votre image d’entreprise et mettrez en confiance vos clients, vos partenaires et vos équipes.

    Nos conseillers en gestion du patrimoine artistique et en investissement artistique sélectionnent quotidiennement des oeuvres intéressantes, que vous aurez le plaisir de  découvrir en exposition à l’ArtAppart.

     

    Rencontrons-nous.

  • Investir dans l’art : La valeur du conseil dans la gestion de patrimoine artistique

    Lorsqu’il est question de gestion de patrimoine artistique il est indéniablement question de conseil ou du moins d’accompagnement. Dans le domaine de l’art, le conseil est au cœur des valeurs de We Art Partners, spécialiste en investissement dans l’art.  En effet notre équipe est formée de conseillers en Art et d’experts fiscalistes.

    Nos Missions :

    • Construire un suivi de la côte des  artistes. 

    • Analyser les projets institutionnels des artistes. 

    • Visiter les ateliers, biennales et foires internationales. 

    • Etudier les rapports et dossiers du marché de l’Art Contemporain.

    Nous faisons une veille artistique constante et internationale, afin de vous faire investir sur des œuvres d’Artistes cotés, en vue de construire une collection rentable alliant plaisir et profit.

    L’Art Contemporain représente aujourd’hui une valeur sûre. Dès lors que l’on acquiert une œuvre d’art celle-ci devient patrimoine et peut ainsi être perçue par les collectionneurs comme un investissement.

    L’idée étant de se constituer un patrimoine à fort potentiel, une certaine stratégie est à choisir et à adapter dans l’objectif de faire évoluer son patrimoine.

    Il faut savoir qu’un patrimoine artistique vit, a une mémoire et tend à évoluer sur plusieurs générations. Nous pouvons distinguer différents types de patrimoine. Les deux plus courants sont :

    • Un patrimoine d’oeuvres d’art qui valorise des œuvres historiques, une sûreté d’achat.
    • Un patrimoine d’art qui prend des risques en misant sur la jeune création ou des artistes avec une cote prometteuse.

    Lorsque l’on parle d’investissement dans l’art, il n’est pas forcément question de « rentabilité » mais plutôt de plus-value sur court, moyen ou long terme selon les envies du collectionneur et de son conseiller à faire fructifier son patrimoine.

    Par ailleurs, le marché de l’art, par sa complexité et sa multitude de parties prenantes, est un secteur qui peut impressionner ou déstabiliser des collectionneurs néophytes. Le conseiller artistique doit régulièrement accompagner et informer ces derniers, notamment en rendant ce marché plus accessible : expliquer le fonctionnement au niveau international, la transparence des informations, les effets de spéculation à éviter, les tendances, les projets des artistes etc.

    Aussi, la notion de plaisir est centrale. Collectionner est aussi une passion, l’investissement devient ainsi un plaisir d’acquisition qui dépasse la valeur pécuniaire.   

     

    Les investisseurs se tournent vers ce marché car il permet de bénéficier des plus-values incomparables à n’importe quel autre secteur d’investissement.
    Encore faut-il pouvoir reconnaître les signatures d’Art Contemporain sur lesquelles investir. Ceci est tout l’enjeu de notre métier.