• La commande artistique : le chic ultime

    Entrer en résonnance avec l’art

    La commande artistique, à la différence de l’achat d’œuvre en galerie, a pour avantage de faire du collectionneur un acteur de la réalisation de l’œuvre qui lui est destinée. Elle crée un pont entre l’imaginaire de l’artiste et les aspirations du collectionneur, en teintant l’œuvre de la personnalité et de l’esthétique de ce dernier.

    Objet cristallisant la volonté de personnalisation, la commande artistique vient donner corps à la scénographie de l’œuvre dans son environnement d’accueil (quand l’environnement d’accueil n’est pas l’œuvre en question bien sûr). Ce qui permet aussi d’oser des formats d’œuvre moins attendus que la toile et d’opter pour des matériaux plus ambitieux, pour les plus téméraires et les plus extravagants.

    Pour ces raisons, la commande artistique correspond au sur-mesure de l’art contemporain et constitue le chic ultime.

    Quand le collectionneur devient mécène

    Le plus souvent, ce premier acte réussi est réitéré et bon nombre de collectionneurs n’envisagent plus l’art que sous sa dimension personnelle. Dès la première commande artistique, le collectionneur change de position et se voit octroyer le statut de mécène, l’érigeant en acteur à part entière de la création artistique.

    D’un point de vue plus collectif, par la commande artistique, le mécène soutient la création vivante, en appuyant l’artiste dans son processus de création, et en créant un objet totémique et inter-générationnel qui associera pour toujours le nom du mécène à celui de l’artiste.

    We Art Partners vous accompagne dans la sélection d’artiste et dans le suivi de bout en bout d’une commande artistique.

  • Les arts plastiques : un investissement esthétique et peu polluant

    On oublie trop souvent qu’un investissement financier correspond toujours à une réalité, qui se matérialise inéluctablement par un impact sur l’environnement.

     

    Les marchés financiers, les portefeuilles diversifiés, se traduisent toujours in fine par l’extraction ou l’exploitation des ressources physiques. La finance, au-delà des répercussions induites par les effets de son exploitation est, par essence, très consommatrice d’énergie et de ressources de par la sophistication et la gourmandise en énergie des serveurs informatiques. Au même titre, l’investissement immobilier représente lui aussi une typologie d’investissement gourmand en ressources pour la construction, puis en énergie pour son exploitation.

    Face à cela, les arts plastiques font figure d’exception écologique de par leur impact environnemental réduit. D’autres moyens d’investir « vert » existent, prenant un pari plus militant et volontariste, mais il n’en est pas à ce jour de plus élégante.  

     

    Une manière de garder le sens du patrimoine

    Investir dans la valeur immatérielle de l’art induit le fait de donner une perspective solide et intemporelle au patrimoine artistique.

    Il n’est pas anodin de voir le mot patrimoine se parer d’un double sens lorsqu’il s’agit de traiter d’arts plastiques. A l’image du patrimoine naturel, la préservation du patrimoine artistique (patrimoine culturel) revêt une dimension universelle qui doit être préservée. Un état d’esprit protecteur porteur de valeur.

    Enfin, l’art a ceci de particulier à l’inverse des biens de consommation : il ne s’use pas. On n’use pas une œuvre en la regardant, on ne consume ou ne consomme pas son capital en le partageant et l’offrant à voir à ses visiteurs. Cette générosité intrinsèque de l’art constitue le socle de la différence entre un capital et un patrimoine artistique.

     

    Un avantage qui ne vaut pas exemption

    Bien sûr, ces particularités positives de l’art ne dédouanent pas de tout effort. Que ce soit dans la production des œuvres, leur transport ou le fonctionnement des lieux culturels, les pollutions existent et sont à réduire.

    Surtout, avec la figure de l’artiste engagé, les arts plastiques relèvent de notre culture commune et sont un levier d’influence majeur pour accompagner la société vers une prise de conscience et de responsabilité.