• Les regards sont tournés vers la scène artistique africaine

    Le marché de l’art a ses tendances et ses évolutions.  Depuis environ 5 ans, c’est la scène contemporaine africaine qui captive les réseaux de collectionneurs, de galeristes et de foires européennes.

    Pour Claire Nini, journaliste spécialiste des artistes contemporains africains, « On ne peut pas parler d’un art émergent, c’est le regard français sur l’art africain contemporain qui est émergent. »

    Pour ne pas se méprendre, il faut bien noter que c’est bien le marché qui s’est tourné vers l’art africain et non l’inverse. La scène artistique africaine a de tout temps compté de nombreux artistes dont les œuvres ont été plus ou moins présentés en Europe.

    La question est de savoir comment expliquer cette tendance actuelle. Auparavant, il y a eu l’art contemporain asiatique, avec notamment la Chine et la Corée du Sud dans les années 2000. En parallèle de cette période, l’Afrique du Sud avec Johannesburg et l’Afrique du Nord avec Marrakech ont vu de nombreux festivals d’art se développer et se regrouper.

    L’Afrique du Sud est depuis assez longtemps, un pôle attractif et productif pour les galeries d’art grâce à une économie propice à un développement international. La participation en hausse des  galeries d’art installées en Afrique lors de manifestations internationales, témoigne de l’intérêt porté par l’Occident vers le continent africain et le dynamisme de son tissu d’acteurs.

    L’Afrique du Nord a eu une visibilité publique plus tardive, mais qui, encore aujourd’hui ne cesse d’accroître, notamment avec la Biennale de Marrakech.

    Voyant le potentiel du marché de l’art africain en matière de développement économique, les états africains encouragent de plus en plus ces manifestations culturelles avec des aides budgétaires parfois indispensables pour exister, notamment pour la Biennale de Marrakech qui a une subvention assez conséquente pour garantir sa pérennité.

    Parmi les manifestations culturelles les plus connues, nous pouvons aussi compter Dak’Art qui  a été créée à Dakar en 1989. Celle-ci rassemble des centaines d’artistes, représentés par des galeries présentes sur le territoire et des milliers de visiteurs, acheteurs, curieux et collectionneurs.

     

    La production d’envergure de l’art africain sur le marché français

    Il existe une présence certaine d’une communauté d’acheteurs grandissante d’œuvres d’artistes africains. L’un des collectionneurs pionniers est Jean Paul Blachère, qui, au-delà de collectionner de nombreuses œuvres, a entrepris de soutenir la jeune création africaine avec notamment la fondation Blachère, qui permet à des artistes africains d’effectuer des résidences et d’organiser des expositions.

    Et c’est bien cela l’enjeu d’une tendance, d’éviter les effets de spéculations en soutenant à long terme, la scène contemporaine africaine. Aussi, de nombreuses institutions françaises légitimes cette tendance en permettant à certains artistes d’intégrer de grandes collections muséales. En ce sens, a été présenté Beauté Congo à la Fondation Cartier en 2015, ou Seydou Keita l’année suivante au Grand Palais. En France, cette effervescence se poursuit en 2017 avec de nouveaux événements parisiens relayés par Art Paris Art Fair, la Fondation Louis Vuitton, le groupe Galerie Lafayette pour la Galerie des Galeries ou encore le festival pluridisciplinaire 100% Afrique à la Villette.

    Pour le Marché de l’Art, la vitalité d’une scène artistique est corrélée à sa production, tant du point de vue de sa qualité que de sa visibilité.

     

    Les évènements/ institutions à suivre:

    L’Akaa – Also Known as Africa au Carreau du Temple, Paris.

    Dak’art – La Biennale de Dakar, Sénégal.

    Art X Lagos

    Zeitz Mocaa (Zeitz Museum of Contemporary Art Africa)

    La fondation Sindika Dokolo

    La fondation Blachère

    Le Musée d’art contemporain africain Al Maaden (MACAAL)

  • L’investissement plaisir dans l’art vu par We Art Partners

    Qu’appelle-t-on « investissement plaisir » ?

    Aujourd’hui grâce à une législation propice aux actions « philanthropes », pour la préservation du patrimoine artistique, l’investissement dit de « plaisir » est de plus en plus présent sur le marché. Cette catégorie d’investissement concerne tant les particuliers que les professionnels et comprend tous les domaines d’achats qui relèvent davantage de la délectation, de la contemplation, voire de l’émotion tels que l’art (comprenant les arts plastiques et décoratifs), le vin, l’or, les forêts etc.

     

    L’art un plaisir d’investissement  ?

    L’art est un placement concret, de plaisir qui offre une plus-value conséquente sur un court, moyen ou long terme selon les acquisitions et la prise de risque engagée. Dans tous les cas, l’art fait l’objet d’intérêt en tant qu’avantage loa pour particulier. En effet, ces « placements de plaisir » permettent à des particuliers et des professionnels de bénéficier d’avantage fiscaux très avantageux. « Il est donc à ce jour, fortement recommandé de posséder au moins 5% à 10% de son patrimoine en œuvres d’art ». Cependant, il faut faire attention car le marché de l’art est un marché vaste et il est préférable d’être accompagné par des conseillers en gestion du patrimoine artistique et en investissement artistique, pour décrypter les rouages de ce marché et en faciliter les informations.

     

    Faire de ses investissements un plaisir en continu 

    We Art Partners, l’expert en investissement dans l’art contemporain intervient comme conseiller en gestion de patrimoine artistique. Il garantira à tout collectionneur, un plaisir d’acquisition sur une longue durée. Il ne s’agit pas seulement de faire des plus-values,  mais de prendre goût à faire évoluer son patrimoine artistique. L’enjeu est donc de rendre pérenne le plaisir des premières acquisitions d’œuvres d’art.

     

    En plus d’être un moyen d’optimisation fiscale pour une LOA sans apport par exemple, l’art représente, pour les entreprises, un outil stratégique pour fédérer les équipes et les partenaires autour d’œuvres d’art permettant de galvaniser l’esprit « corporate ».

  • Impôts, image et patrimoine : Ne refaites pas les erreurs de 2017 !

    Ça y est, 2017 était une belle année et 2018 s’annonce encore mieux !

    Votre expert comptable sort votre bilan et prononcera deux lettres : « IS » (Impôt sur les Sociétés).

    Sans remettre pour autant en cause son intérêt, le montant associé à ces deux lettres vous titille.

    REAGISSEZ POUR 2018 et diminuez vos impôts tout en développant votre patrimoine artistique.

    La solution : développer une collection à l’aide de conseils en gestion de patrimoine.

    We Art Partners vous accompagne dans le choix des oeuvres d’art, en vous proposant sa solution de location avec option d’achat, pour vous orienter dans l’investissement.

    La LOA sur oeuvre d’art, ou communément appelée leasing d’oeuvre d’art, vous permet, sans apport personnel :

    • de lisser l’investissement dans l’art sur plusieurs mois – Loyers de 13 à 60 mois
    • de bénéficier à 100% d’une déduction fiscale loa des loyers de votre résultat imposable (Charges locative d’exploitation), et de ce fait, de faire une économie d’impôt considérable.
    • de devenir propriétaire des oeuvres à la fin de la période de location pour 5% du montant à financer.

    De plus, We Art Partners, le spécialiste en investissement dans l’art, vous accompagnera et vous conseillera sur le choix des oeuvres afin de vous constituer un patrimoine artistique intéressant selon vos goûts et vos objectifs.

    Vous sublimerez ainsi vos locaux grâce aux oeuvres d’art, vous valoriserez votre image d’entreprise et mettrez en confiance vos clients, vos partenaires et vos équipes.

    Nos conseillers en gestion du patrimoine artistique et en investissement artistique sélectionnent quotidiennement des oeuvres intéressantes, que vous aurez le plaisir de  découvrir en exposition à l’ArtAppart.

     

    Rencontrons-nous.